Savoir reconnaître un Saint-Nectaire, même en pleine brume
Nous sommes de retour de nos vacances de printemps en Auvergne : 3° en moyenne, du brouillard, de la bruine, un col de la croix Morand ressemblant à une purée de pois… mais de bons moments chaleureux en famille, avec chevaux, veaux, vaches cochons, chèvres, chevreaux, Saint-nectaire, Saucisses aux lentilles du Puy, cochonnaille en tout genre, miels de sapin, de pissenlit, d'accacia et soupe aux orties.
Après avoir assisté à la traite des vaches à la ferme voisine, nous nous sommes empressés d’aller commander quelques Saint-nectaire afin d’avoir nos réserves de fromage jusqu’à l’été ( oui, oui, nous repartons dans une nouvelle région à fromage à la belle saison).
Et voilà le résultat :
De beaux Saint-nectaire de 4 et 6 semaines (bien plus économique au kilo que n’importe quel fromage de supermarché), de beaux saucissons auvergnats aux noisettes, figues, cognac, piment, bleu d’auvergne, et de la belle saucisse à griller achetée au mètre (elle est déjà au congélateur, les photos seront pour la prochaine fois). Bref, de bons produits achetés localement qui nous décongèlerons avec plaisir ces prochains mois.
Et pour l'anecdote : j'avais ramené un Saint-nectaire pour mon deuxième voisin qu'il m'a troqué contre une bouteille d'huile d'olive extraite de sa proprieté. Délicieuse !